BEAUNE ET L'HOTEL DIEU
Hélo mes amis,
Si déjà on était un dimanche de fin février à Dole, on allait pas se priver de faire le saut de puce sur Beaune, déjà histoire de se remplir la panse, la promenade ça te nourrit pas un homme
Ensuite, parce que l'occasion était trop belle de ne pas rater ça
Avoir la chance de trouver une table dans une brasserie fort attrayante, une carte maison et de saison, un personnel au petits oignons, le sourire en prime....
Prendre son temps, déguster, savourer le moment
Puis promenade digestive sous le soleil qui cagne direction les hospices civiles
Parfaitement préservé depuis sa fondation en 1443 par Nicolas Rolin, Chancelier du duc Philippe le Bon, ce joyau de l'architecture gothique flamboyante illustre les liens étroits qui existaient alors entre la Bourgogne et la Flandre, nouvelle vassale de la maison de Valois. Ses toits polychromes et les ors du polyptyque du Jugement dernier, dû au maître flamand Rogier Van Der Weyden ont fait sa renommée. Mais cet hôpital médiéval recèle bien d'autres trésors : la grande salle des Pôvres au riche plafond sculpté et peint, sa chapelle gothique, la cuisine avec un tourne-broche actionné par un automate et l'apothicairerie avec ses collections de faïences et d'étains.
Préservé dans un état exceptionnel de conservation, ce monument est un rare témoignage de l’architecture civile du Moyen Age. Ses salles réunissent une vaste collection d’objets, meubles et tapisseries de cette époque.
Nicolas Rolin et Guigone de Salins dans le jugement dernier de Rogier van der Weyden
le lien entre l'Hotel Dieu et Bourvil ?
La grande vadrouille pardi !
Bref, si on ne s'était pas fait racquetter sur l'autoroute niveau tarifs de péage, la vadrouille du dimanche aurait été plus que parfaite
Bisoussssssssss
et à bientôt